Aujourd’hui et pour encore un jour ou deux, le chantier au plus bas de gestion de l’eau pluviale continue. Après avoir créé des pentes sur la dalle de la cour intérieure, je commence la mise en place de caniveaux qui de leurs gros bras musclés prendront soin d’amener la pluie dans les profondeurs insondables des égouts de Mauron.


Pendant que au plus haut, le dernier pan de toit est descendu et remonté dans la foulée. Aujourd’hui le pare-pluie est posé sur toute la toiture, le litonnage est presque partout posé et bientôt les ardoises finiront de couvrir la totalité de la surface du toit.



Après la sécurisation du garage, on commence à amasser.
Quelques vis, des planches, un bon cadenas.. nous voilà avec notre garage sécurisé, prêt à recevoir et stocker ce qu’on lui confiera.
C’est quand Valentin à débarqué sur le chantier jeudi avec ses magnifique meubles rénovés que l’urgence de sécurisation est apparue. Il n’est pas possible que je quitte le chantier ce jeudi soir en laissant l’accès publique à ces superbes meubles en châtaignier. Je m’attelle donc avec force, vis et planches à fermer les deux accès principaux. Pour le troisième, la porte principale, je cours vers les Briconautes acheter un cadenas à code.
Maintenant, nul, sauf déterminé à casser, ne pourra facilement rentrer dans ce stock de chantier.
Bientôt ce sera des dizaines de mètres cube de laine de bois qui satureront cet espace. Aïe, ça va faire mal à la déambulation !


