Dédé a encore frappé

Pendant que de mon côté je déguste un plateau de fruits de mer, du foie gras, du bon vin, du chocolat, et toutes autres gourmandises de Noël, un homme s’active, heureux de pouvoir s’occuper et heureux de pouvoir aider son copain…

C’est effectivement durant cette semaine de Noël que Dédé placé une dizaine de plaques de plâtre dans la chambre une et deux…

En revenant de mes vacances je me doutais que la première chambre serait finie mais quelle surprise de voir que la seconde chambre aussi avait été doublée !!

Merci Dédé !

La chambre numéro deux, isolé est doublé au nord.
Toujours dans la chambre numéro deux, la séparation avec la chambre voisine a été doublé car j’ai ajouté de l’isolant phonique.
Dans la chambre numéro une c’est le mur sud qui hérite d’une isolation et d’un doublage.
Le même doublage vu de l’autre côté.

Après le dessus, le dessous

Maitenant que la couverture est posée et la soue vraiment hors d’eau, je peux m’attaquer à l’isolation.

Je profite d’un trop plein de commande de laine de bois à Mauron pour isoler entre chevrons avec des panneaux de 120mm d’épaisseur. J’ajouterai à cela 60mm entre chevrons.

Avec un Lambda de 0,040 pour la laine de bois et 180mm d’épaisseur j’aurai un R de 4,5… Ce qui est bien mais pas top.

Ensuite, je pose le frein vapeur, qui fera l’imperméabilité à l’air. Comme à Mauron, je l’agrafe sur les chevrons, la seule différence est que je n’utilise pas le scotch officiel qui coute les yeux de la tête, je choisi un système D : coller les lais avec du silicone. Je pense qu’au niveau durabilité on doit être pareil… Difficile à vérifier.

Quand tout est fixé, agrafé, collé, je visse les chevrons entre lesquels je placerai les lais de laine en 60mm.

La semaine prochaine je vais chercher des planches à la scierie, elles viendront cacher ces couches et donner le fini des pentes.

Toujours pas de plaques…

Les plaques d’OSB manquante ne sont toujours pas arrivé mais ce n’est pas une mauvaise nouvelles…

Parce comme je ne peux pas placer les plaques, je trouve autre chose à faire en attendant. Et la réalisation de cette série de petites choses est en générale repoussé à la fin du chantier. C’est donc très bien que je sois obligé de les faire maintenant !

Sinon, le premier receveur de douche est posé dans la salle de bain des combles.

Une jolie petite salle de douche en préparation.

Aussi, lors du début du chantier, quand le couvreur me demandait où placer la grille pour la ventilation de chute, je ne pouvais que lui répondre vagement par rapport a un plan encore vague lui aussi..

Il se trouve donc que les plan ont changés, que les toilettes ne sont plus à la même place et que la ventilation de chute ne se trouve plus au dessu sde celles-ci…

J’ai donc dût composer avec cet état de fait et placer deux tuyaux de 40 plutôt qu’un tuyaux de 100 afin de gagner un peu de place. Car cette ventilation passe juste au dessus de l’évier et de la porte..

Les deux tuyaux de 40…
… qui rejoignent celui de 100 partant à l’extérieur.
Maintenant tout est caché….
Le deuxième Velux est plaqué ! Il n’en reste plus qu’un…

Suite du sol à la soue…

Aussi, comme c’est lundi je suis à la soue…

Depuis le nouvel emploi du temps de Soazig qui commence tôt le lundi, je m’occupe de déposer les enfants à l’école en vélo.

Je profite alors de rester à Néant et de travailler sur la soue.

La mise en route est laborieuse car il nous manque du bois pour le toit, le sol est plein de questions…

J’ai donc pris mon courage à deux mains et commencé par ce qui était possible : Aller voir Maurice pour convenir d’un rendez-vous pour débiter le bois, c’est fait. Commencer à enduire le sol avec de l’huile de lin, c’est fait !

Et évidement, les ouvertures seront posées tout début décembre !

Donc la soue va reprendre du chantier dans les prochaines semaine, à suivre…

L’huile de lin est censé rendre le sol plus solide et hydrofuge… nous verrons bien…

Isolation des plafonds

Cette semaine j’ai terminé le plaquage de l’OSB dans les combles. Une sacrée étape de faite !

J’ai pu alors commencer la mise en place des cloisons de ce dernier étage et j’ai rapidement dû m’arrêter car je manquais de chevrons.

L’entourage des velux me faisait particulièrement peur. Finalement je ne me suis pas mal débrouillé 🙂

Je suis alors descendu d’un étage pour continuer ce que je fais depuis des mois : placer de l’isolant.

Le dernier endroit pouvant recevoir de l’isolant est le plafond des chambres. Une fois cette surface isolée, tout ce qui restera comme laine de bois sera mis en vente sur le bon coin. Il ne devrait pas en rester tant que ça.

Depuis le départ, j’ai dans l’idée de créer une structure en chevrons attachés par des suspentes au plafond existant. Entre cette structure et le plafond je pensais y insérer une première couche de laine de bois et insérer la seconde couche entre les chevrons.

Ce système me pose question depuis le début : comment bien attacher ? Comment mettre de niveau ? Comment faire tenir l’isolant entre chevrons ? …

De plus, certaine fenêtres étant très hautes, il aurait fallu créer des réserves pour l’ouverture de ces dernières. Opération ni très drôle ni esthétique…

En m’endormant la semaine passé, je suis pris d’une illumination qui m’empêche de dormir durant les deux heures suivantes : je vais changer de sytème d’isolation des plafonds!

Je vais simplifier drastiquement la méthode : je vais supprimer le plafond existant (fait de lattis de bois recouverts d’un épais plâtre), insérer ma première couche entre les solives alors visibles et fixer les chevrons directement sur ces solives. Gain de temps, d’énergie, plus de souci de fenêtres trop hautes et on garde le cachet des hauts plafonds.

Je suis trop excité dans mon lit.

Le seul inconvénient à mes yeux est le travail de destruction avec son lot de poussière et surtout de gravas à évacuer. Mais pour le reste il n’y a que de positif.

Passage à l’acte

Donc ce jeudi, c’est avec pas mal d’excitation que je commence par la chambre n°2.

Le choix de cette chambre se fait vite, c’est la seule entièrement vide grâce au super travail de rangement-nettoyage opéré la semaine passée par Soazig.

Première étape, tout casser. Même pas peur. J’ai l’habitude.

Le plafond avant destruction.
Le sol après destruction. Mélange de polystyrène, bois et mortier/plâtre.
Le bois et le polystyrène dans un coin,
…, le gravas descendu au RDC dans des sacs.
Pour le bois, du châtaigner, je teste la cheminé nouvellement ouverte. Le feu crépite joyeusement.

Après la destruction et le nettoyage, je me lance dans le placement de l’isolant.

J’adore les rimes en ‘en’.

Je place en premier des panneaux de 100mm entre les solives.

Ensuite je fixe les chevrons. J’ai de la chance, les solives sont très bien alignées et de niveau.

Ici les chevrons sans la dernière couche de laine de bois.

Résultat super satisfaisant et plutôt rapide. Petite cerise sur le gâteau (à mes yeux), les linteaux en chêne seront encore visible.

Il ne me restera « plus qu’à » placer le lambris bois.

Fè chô

Aujourd’hui, mardi 23 juillet 2019, il a fait chaud. 38,5° à l’ombre.

Pour fêter cette chaleur, nous avons décidé de monter dans les combles, là où la chaleur se fait le plus sentir. Ce n’est pas qu’on est fou, c’est que ce sont les derniers jours durant lesquels Soazig peut m’aider sur le chantier. Nous en profitons donc pour faire les travaux qui sont facilités par sa présence. En plus, ça tombe bien, remonter dans les combles est dans l’ordre du chantier. La température, on s’y fait bien, surtout toutes fenêtres ouvertes, dans la petite brise, c’est presque agréable.

Le retour dans les combles était touchant car comme j’y ai passé beaucoup de temps cet hiver et ce printemps, y revenir me ramène à tout ce que j’ai fait entre temps… Pas facile à expliquer…

Donc nous y remontons pour placer la couche de 60 mm de laine de bois et fixer les plaques d’OSB aux rampants.

Je dois dire que c’est sans doute la seule étape qui me fait encore peur dans ce qui reste du chantier. Mais sans doute que je me trompe, ce n’est pas de la peur, c’est un manque d’envie.

Pour plusieurs raisons :
D’abord parce qu’il est compliqué d’arriver à un résultat très propre et ça je le pressentais. Beaucoup de découpes et des supports pas très droits.
Ensuite, il y a quelques mois nous avons monté une palette d’OSB, ce qui représente plus ou moins 100m2 et je pense que ça ne sera pas assez. Je devrai donc monter soit des plaques de plâtres, soit des planches par l’escalier… ça ne me réjouit pas du tout.

Ceci étant dit, nous ne nous sommes pas trop mal débrouillés et je creuserai dans ma créativité pour trouver des solutions aux quelques défauts apparents.

La découpe des plaques
Les premières plaques sont posées avec la laine de bois en dessous.

La baignoire en fonte

Parce que j’ai descendu par l’escalier avec Julien, cet hiver, la vieille baignoire en fonte présente dans la maison en esquintant les murs, l’escalier et en évitant de justesse de se faire très mal… je refusai d’emprunter la même voie pour monter la « nouvelle » vieille baignoire en fonte.

Depuis donc plusieurs semaines, voir mois, je me demande comment faire.

Vendredi j’ai décidé de demandé à l’agriculteur qui vient tous les vendredi faire son marché avec son vieux tracteur à fourche, et qui se gare à deux pas de la maison, si ça le tentait d’essayer de monter une baignoire en fonte par le balcon.

Je suis chanceux, je suis tombé sur un amoureux des défis. De plus, c’est un homme passionnant, le premier et sans doute un des seul a avoir exercer sa profession sans labour. Un pionnier du bio et un amoureux de la terre.

On a pris le temps de faire connaissance. C’est un sacré bonhomme !

N’ayant pour ma part, pas de copains sous la main pour le coup de main, il est allé en chercher un chez lui, en même temps que quelques sangles.

Il est donc revenu, pleins de ses histoires et de son enthousiasme pour monter cette authentique baignoire. Quelle histoire !

On a commencé par charger le mastodonte sur les fourches et bien sangler le tout.
Après il a monté le tout au plus haut, presque qu’à la hauteur du balcon.

Pour moi, on n’est pas beaucoup plus avancé. Comment faire maintenant pour la faire entrer ?

Son ami, une personne non moins passionnante, à résolu mon interrogation en montant sur les fourches à 4 mètres de haut. Très peu pour moi.

Lui juché au dessus du vide et moi au bord du balcon, on a poussé un gros cri pour pouvoir déplacer l’éléphant de fonte en sécurité.

L’éléphant est maintenant arrivé au premier étage et j’ai deux nouveaux copains dans le coin, Jean Paul et Gilles. C’est super le chantier !

Sinon, les travaux ont avancé dans la cour intérieure. Le chainage en zinc destiné à protéger le dessus des murs est fini et j’ai fermé la partie couverte qui devient un grenier. Je vais à présent passer le Karcher sur la façade nord et ensuite je supprimerai le plancher devenu inutile. Je n’ai pas de photo du chainage, je posterai plus tard.

Bientôt la façade nettoyée et sans tuyaux ni trous. Bientôt aussi le plancher aura disparu.

De retour au chantier

Après une semaine de repos, au soleil, à la mer et dans la piscine, nous avons mis les enfants au centre aéré pour la semaine et avons reprit le chantier. Doucement, mais sûrement.

Rien de tel qu’une petite cuillère de sauce magique pour passer de bonnes vacances.

La buanderie / cellier

Nous avons passé notre première journée à ranger le chantier. Le garage retrouvant un peu d’espace après le départ d’une partie de l’isolant, a été rangé et nettoyé. La cour intérieur à été vidée afin de préparer le nettoyage de la façade sud et de la suppression du plancher de l’ancien grenier.

Et aussi une remorque pleine pour la décheterie.

Ensuite j’ai repris le chantier de la buanderie/cellier. Je vais certainement aller assez loin dans son aboutissement afin de pouvoir utiliser les premières nouvelles toilettes ! Ce sont elles qui sont le plus proche des évacuations. Cela me permettra de supprimer l’ancien réseau de chute et de laisser la place pour le nouveau.

On voit la toile censé couper de l’humidité, l’isolation du mur, l’isolation du plafond, le réseau d’évacuation et les arrivées électrique et d’eau dans la nouvelle tranchée.

La première chambre est doublée

C’est la première fois que je réalise le travail de doublage d’un mur afin de l’isoler. Je comprends maintenant pourquoi c’est la technique la plus répandue, c’est ultra rapide pour cacher n’importe quelle misère de mur et y placer un isolant.

Jusque là j’avais préféré enduire les murs en pierre ou réaliser des joints. Seulement, ce n’est pas la meilleure solution quand la maison est grande, qu’elle n’est pas chauffée tout les jours de l’hiver et qu’on veut diminuer la facture de chauffage.

J’ai donc décidé d’isoler au maximum. C’est parfois impossible lorsque l’on manque de place ou que l’on souhaite garder certains pans en brique ou en pierre.

Je m’amuse donc à créer une structure avec des chevrons qui recevra en parement des panneaux de bois OSB.

Ici les doublages de la future salle de douche de la 4ieme chambre.
Le mur nord de la chambre 4.
Avant la cloison de séparation entre deux salles de bain…
Et après…

C’est sûr, ça avance

Malgré quelques jours de vacances, des jours allégés par le voyage de Soazig à Barcelone et du temps passé à la maison dans le jardin, le chantier avance bien.

Tout d’abord, les abords

La maison, vue de l’extérieur, à bien changée et les voisins nous le font bien remarquer.

En premier lieu, les ouvertures. Toutes posées, la maison peut enfin être fermée à clefs. Elle arbore maintenant fièrement son cachet de maison de bourg du 19ième revue à la sauce 21ième.

Il n’y pas à dire, elle a retrouvé du cachet !

Ensuite, le gravier à été grossièrement étalé et le jardin dégagé. Avec les pierres issues de certains démontages, on a créé un muret de pierre sèche et un parterre de rocaille. Et oui on s’occupe déjà des parterres 🙂

Placer des pierres, c’est pas un truc qui me motive, alors je délègue. Soazig fait ça très bien.
J’en profite pour planter quelques trucs couvre sol.

A l’intérieur aussi les choses se précisent

Nous avons fini le contre chevronnage et le dératellement à été complètement isolé aussi.

Il ne manque maintenant plus que la dernière couche de laine de bois et le placage.

Nous avons aussi fini de passer le réseau électrique pour le dernier étage et les emplacement des pièces on été définis au sol par la pose de chevrons. On structure l’espace, on imagine ainsi mieux les espaces.

C’est sans doute ce que je préfère comme phase : l’électricité.

Nous avons aussi bien commencé le réseau de distribution d’eau pour les 4 salles d’eau et 2 toilettes mais je n’ai pas de photos.

Descendre d’un étage

Je me suis même offert le luxe de descendre d’un étage aujourd’hui. Etant donné que les réseaux ont été posés dans les combles, je descends d’une volée d’escalier pour poser la laine de bois aux murs et aux plafonds des chambre.

Pour ce qui est des murs ça va très vite. J’ai placé 21m2 en 3 heures. Pour le plafond je pense que ça sera plus sportif…

J’ai commencé par la plus grande des chambre, la 4, celle qui aura le luxe de s’offrir une douche et un toilette privatif.

Les murs de la 4ième chambre sont maintenant isolés.
La couche de 100mm est posée et sera superposée par une couche de 60mm entre chevrons.

Tracas envolés

Depuis plusieurs semaines il y a une étape qui me tracasse.

Celle-ci approchant, mes nuits en sont affectées. Je m’invente mille problèmes, questions, inquiétudes.

Cette étape n’inquiète absolument pas Soazig, elle dédramatise.

Aujourd’hui c’est le jour J, celui où je vais me confronter avec cette énorme tâche qui est de …

Placer le Frein vapeur.

Alors d’abord un peu de théorie sur cette drôle de chose qu’est le frein vapeur. Dans ce cas-ci on ne parle pas ici évidemment d’un quelconque système de freinage à partir de vapeur. Ici le frein vapeur est une membrane destinée à protéger le bâtiment (la sous-toiture) de tout échange d’air. Car c’est bien connu que des fuites d’air dans un isolant génèrent de l’inconfort, mais aussi de la condensation et donc à therme des dégradations.

Depuis quelques années donc les efforts sur l’économie d’énergie poussent les constructeurs à limiter les échanges d’air entre l’intérieur et l’extérieur.

Cette façon de faire, peut générer des soucis avec l’humidité intérieure présente sous forme de vapeur et issue de la présence humaine. Aujourd’hui nous avons donc à notre porté toute une série de produits et de calculs permettants de gérer la capacité d’un bâtiment à réguler son taux d’humidité.

Une de ces solution est l’utilisation d’un frein vapeur qui va limiter la quantité d’humidité dans l’isolant et dans le bâti. Mais je le rappelle, son utilité première est de rendre l’espace imperméable à l’air.

Ca fait peur

Alors moi, depuis pas mal de jours je m’inquiète à savoir si je vais réussir à emballer toute la sous-toiture. Des doutes qui ont sûrement leurs origines dans le fait que je sois une bille dans l’emballage de cadeaux…

Donc à 10h ce matin, après avoir déposé les enfants, Soazig me rejoint sur le chantier et nous nous préparons à apposer notre premier lai de frein vapeur.

La première question qui se pose est de savoir si on le pose horizontalement ou verticalement. les deux semblent autorisés, même si la première représente la quasi totalité des réalisations. Nous choisissons donc l’autre, la verticale. Pourquoi ? Parce qu’on est des têtes de mule !

La première raison de ce choix est que l’on pense que la pose sera plus aisée. La deuxième est que quand on la pose horizontalement, elle se fixe entre deux panes et j’avais calculé que l’espace entre ces deux dernière était trop important par rapport à la largeur des lais.

Donc on pose notre premier lai verticalement et ça se passe plutôt bien. Rapidement on pose le second et puis le troisième. Chaque lai nécessite quelques ajustements, découpes et surtout d’y apposer une bande auto-collante afin de rendre les jonctions imperméables.

Petite tisane avant la découpe du premier lai…
Deuxième lai posé mais pas encore scotché

Et puis je me détends. Je me rend compte que ce travail est très facile, ludique et surtout j’y prend du plaisir. C’est gagné, des journées de soucis s’envolent et je me retrouve guilleret devant la tâche à accomplir.

Je me détends d’ailleurs tellement que je me rend compte que mes calculs sont faux et que je peux placer les lais horizontalement. Ce n’est pas plus simple mais sous notre toiture à quatre pans, cela fait moins de chutes.

Même pas peur pour la lucarne !
En quelques heures plus de la moitié de la sous-toiture est posée ! Cela mérite bien une drôle de pose de l’ouvrier !

Voilà donc une journée qui se termine à nouveau dans la joie et dans la bonne humeur.

Demain nous recevons deux palettes d’OSB. Deux tonnes de plaques de bois à répartir dans le chantier. Une palette sera placée dans les combles via le monte charge et l’autre au premier étage aidé probablement du monte charge !

Ca va tirer dans les bras !