Les carrés haussmannien font leur grande entrée

Nous avions imaginé un couloir rehaussé de la décoration classique Haussmannienne. Dédé nous aide à réaliser ce souhait. Ce sont donc des dizaines de mètres de chambranle qui sont collé et pointées au mur du couloir, des escalier et de la première chambre.

Placement du premier chauffage de la maison. On en a besoin, ces derniers jours sont froids !
Atelier Peinture
On commence l’aménagement dans la première chambre achevée !!

Dédé a des envies d’évasions

Avec la fin du confinement et le beau temps, Dédé a envie de s’évader. Il est effectivement un grand adepte du camping-car et passe tous les beaux mois de l’année à se balader en Europe.

Cependant il s’est promis de ne pas quitter le chantier sans terminer ce qu’il projetait de réaliser.

Dans cette petite liste qu’il s’est fait dans la tête, il y a un petit meuble d’entrée, la cloison derrière le future poêle et isoler le sol de la cuisine. on ne le voit pas sur les photos mais je suis aussi très présent dans la réalisation de ces tâches.

Et enfin, l’isolation du sol de la cuisine. On sent bien qu’il est déjà ailleurs.

L’avant dernière grosse étape du Rez de chaussée au Liberté.

Dédé est motivé et aujourd’hui il s’engage à placer l’isolation, les lambourdes et enfin le plancher au rez-de-chaussée ! Sacré programme qui me soulagera d’autant.

Je me charge donc de me procurer les lambourdes correspondant à la hauteur de l’isolant, des plaque de TMS de 69mm.

Le chantier sol commence alors. Pendant ce temps, je termine les endroits qui nécessite des joints à la chaux : trois chambres au premier et une au deuxième.

Une esquisse des lambourdes sur le sol.
L’isolation est placée entre les lambourdes. Il ne manque plus que le plancher.
Livraison du plancher en châtaignier depuis une scierie dans la région de Bordeaux.
La première lame est ajustée.
Et puis les lames s’enquillent tranquillement.
Une belle réussite !
Pendant ce temps là, j’enduit et je resserre
Et le résultat est plutôt sympa.

Il fait beau, alors on sort !

Nous sommes au beau milieu de cette période de confinement et pourtant le chantier avance de bon train. Et comme le printemps s’installe avec bonheur, nous sortons nos mine blafarde pour nous attaquer aux aménagements extérieurs.

C’est soazig qui commencera les festivités, accompagnées de Dédé et dénis, pendant que je me repose à la maison quelques jours. Ils commencent par couper tout ce qui est moche.

Ensuite ils retournent tout le terrain pour retirer toutes les racines de ronce. En tout, une remorque pleines que de racines ! Je n’en revenais pas !

Une fois le terrain propre, je reviens sur le chantier et nous commençons tous ensemble à reconstruire. Soazig et Dennis s’occupent avec une spirale aromatique et Dédé et moi nous attelons à la construction d’un escalier et d’une terrasse. Ce n’est pas rien et ça donne très bien.

La fin du chantier jardin se soldera avec un apéritif mémorable arrosé de mojito et de to punch préparé par notre Barman Dennis. Une bouteille de rhum à trois, ça ne s’oublie pas !

Couper ce qui doit l’être…
L’équipe de nettoyage du sol.
On pose les fondations de l’escalier et de la terrasse.
Pendant que la spirale prend forme.
Joyeuse ambiance de confinement.
La terrasse prend forme sous le beau soleil de cette fin avril.
Ça devient carrément class ! il ne manque plus qu’un peu de gravier.
Trop bien ! Vive le Mojito !

Début du confinement

Le contexte actuel est plus que particulier. Un certain Monsieur Covid-19 se balade, se multiplie jusqu’a inonder le monde, nous obligeant à rester chez nous et à ne pas en sortir. Les magasins, autres qu’alimentaires sont fermés. Les écoles sont fermées. Tout est fermé.

Cependant, ici la vie est douce en famille, le printemps s’installe mais pour mon Dédé le présent n’est pas si agréable à supporter. Je fais le point avec lui sur ce que nous pouvons réaliser. La liste est limitée car aucun magasin de matériaux n’est ouvert. Heureusement depuis quelques mois, des lames de parquets attendent d’être posées. Je dépose à Mauron le matériel nécessaire et mon ami retrouve le sourire et se lance à coeur joie dans la réalisation du doublage sur le mur de la salle à manger.

Le rendu est superbe !

Dédé a encore frappé

Pendant que de mon côté je déguste un plateau de fruits de mer, du foie gras, du bon vin, du chocolat, et toutes autres gourmandises de Noël, un homme s’active, heureux de pouvoir s’occuper et heureux de pouvoir aider son copain…

C’est effectivement durant cette semaine de Noël que Dédé placé une dizaine de plaques de plâtre dans la chambre une et deux…

En revenant de mes vacances je me doutais que la première chambre serait finie mais quelle surprise de voir que la seconde chambre aussi avait été doublée !!

Merci Dédé !

La chambre numéro deux, isolé est doublé au nord.
Toujours dans la chambre numéro deux, la séparation avec la chambre voisine a été doublé car j’ai ajouté de l’isolant phonique.
Dans la chambre numéro une c’est le mur sud qui hérite d’une isolation et d’un doublage.
Le même doublage vu de l’autre côté.

Plafond and Cie

Depuis une semaine, nous sommes accroché au plafond.

Depuis le début du chantier, les plafonds du RDC et du premier sont sources de questionnement, d’hésitation, de choix, de contre-choix, de décisions,, de contre-décisions, … C’est comme le ciel en Bretagne, ça change tout le temps !!!

La dernière idée en date, avant la définitive, était de garder le plafond en plaque de plâtre suspendue, et de demander à un plâtrier de l’enduire afin de cacher les plots de colle qui tenaient les plaques de polystyrène qui le décorait. Et puis on a fait le plafond de la soue, et on a aimé, beaucoup aimé. Alors on s’est dit « pourquoi ne pas faire ça au Liberté? »

Le bois c’est chaud, c’est naturel, et sous cette forme, c’est original. Ca m’a plu, à elle aussi alors on a dit Banco !!

Evidemment le fait d’être épaulé par Dédé pour la réalisation a aidé à faire ce choix. Il était inimaginable de clouer des planches de 4 mètres tout seul à 2m95 du sol…

Il fallait avant tout terminer la pose des gros tuyaux de canalisations et relier le labyrinthe menant aux 4 douches, 4 lavabos, 3 wc, 1 baignoire, 1 chauffe eau. Et puis profiter de ce faux plafond pour également dissimuler la quasi totalité des câbles électriques du RDC…

Finalement, beaucoup de préparations avant de clouer la première planche. Après une journée éreintante on a quand même voulu la poser cette première planche. Tant pis, il fait nuit et il est temps de partir mais on veut la clouer cette planche.

Et c’est ainsi que le point de départ était donné.

Il a suffit de suivre le rythme pendant 3 jours. S’accorder Dédé et moi sur la pose, la coupe, le prise du cloueur pour ainsi acquérir un bon rythme de croisière, tel le ballet des petits rats de l’opéra. On monte, on descend de l’escabeau, on avance, on recule l’escabeau et on n’oublie pas de faire les trous pour laisser place aux futurs luminaires.

Les premières planches se posent, non sans douleurs.
Les planches sont beaucoup moins belle qu’à la soue, faute au trop de pluie de ces derniers temps..
et ça prends doucement forme..
A cette étape, nous devons construire le coffrage du tuyaux d’évacuations, car les planches vont venir mourir sur les plaques de plâtres qui le recouvriront.
On en profite pour faire la structure du doublage pour le poêle à bois.
Maintenant tout est pointé !
Et pour finir la journée, on déplace les 120 planches afin qu’elles soient tringlées (aérées) car elle ne serviront pas avant un mois pour le plafond du premier..
la structure de doublage pour le poêle en cours de construction…

Sablage !

Ca fait quelques temps que je savais que j’allais y passer… Sabler les pierres du rez-de-chaussée…

Je n’aime pas sabler !

Sabler, c’est un matériel très impressionnant ; c’est un énorme compresseur à atteler à la voiture, c’est une grosse cuve avec des vannes partout, des tuyaux d’air longs et lourds et le scaphandre avec l’arrivée d’air…

Sabler, c’est beaucoup de bruit et ENORMEMENT de poussière, une combinaison difficile à déplacer et une visibilité presque nulle.

C’est la troisième fois que je loue ce lourd matériel et je ne m’y fais que peu.

Je n’ai pas de photos de cette journée, c’est dommage parce qu’avec le soleil, il y avait vraiment des impressions de fin du monde; la place de la Liberté était cachée dans un profond nuage de poussière qui sortait intensément par toutes les fenêtres ouvertes… Impressionnant !

Je n’ai de photos que du résultat :

Le mur humide a séché sous l’effet du sable… curieux !

Retour à Mauron

Maintenant que le soue est presque terminée, je retourne à Mauron jouer à l’électricien car Dédé à décidé de placer toutes les cloisons et les doublages au rez-de-chaussée !

Je le suis donc dans sa construction avec mes pinces et tournevis.

Et finalement, cela fait trois semaines que je suis à Mauron. Toutes les cloisons et portes du RDC sont placées, toutes les plaques de plâtre aussi, les bandes sont faites. Ca change !

Juste avant cela, on a prit la décision de descendre le plafond existant, de mettre à terre le vieux pour le remplacer par du bois.